Les îles de Guadeloupe : itinéraire de 2 semaines au paradis

Les îles de La Guadeloupe :
itinéraire de 2 semaines au paradis

Février 2021, nous décidons d’organiser un voyage en Guadeloupe. C’était sans compter ce fameux COVID et ses multiples variants … En raison de mesures sanitaires et de menaces de reconfinement, nous avons préféré reporter notre voyage à 2022. Pour autant, début 2022 rebelotte, il est à nouveau question de mesures sanitaires. Pas ultra confiants mais ayant vraiment besoin d’évasion, nous partons tout de même. Ce fut l’une des meilleures décisions tellement nous avons apprécié ce voyage. Voici un récapitulatif de nos 15 jours sur les îles de Guadeloupe.

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Jour 1 : De Nantes à Pointe-à-Pitre

La première journée fut consacrée au transport. Nous sommes partis à 6h30 du matin de la gare de Nantes direction Paris. Grâce à notre billet combiné TGV Air, Air France s’est occupé de tout à notre place : réservation du train, transfert gare-aéroport … Ce combiné est un réel confort. En effet, notre vol avait été avancé et si nous avions réservé à part auprès de la SNCF, nous n’aurions pas pu modifier sans frais nos billets. Le changement d’heure du vol incombant à Air France, ils ont tous pris en charge. Ce sont des petits aléas à prendre en compte lorsqu’on a une escale. Le vol se passe sans encombres et nous atterrissons à Pointe-à-Pitre à l’heure convenu. Nous récupérons la voiture de location direction Saint-François, faisons quelques courses et un saut dans la piscine avant d’aller dormir, fatigués du trajet.

Jour 2 : Saint-François et la Pointe des Châteaux

Nous nous réveillons au Paradis, heureux d’être arrivés en Guadeloupe. En cette première matinée, nous avons voulu prendre notre temps : après un rapide tour sur le Port de Saint-François et quelques courses, nous avons profité de la piscine de notre logement.

Dans l’après-midi, nous sommes allés découvrir la Pointe des Châteaux où vous trouverez plusieurs départs de sentiers. Nous avons fait la balade de la Pointe. Ce sentier de 2 km offre une vue à 360° entre la Désirade, Petite-Terre et Marie-Galante depuis la Pointe Colibri. Ce sentier n’est pas bien difficile et est parfait pour commencer le séjour en douceur. A la fin de notre balade, nous avons dégusté une délicieuse glace Coco achetée auprès des quelques stands présents à proximité du parking. Ensuite, nous sommes allés nous poser sur la plage mais sans se baigner car il y avait beaucoup de vent.

Jour 3 : Saut en parachute et la plage de Bois Jolan

La troisième journée était un peu particulière car … C’était notre anniversaire (de naissance – nous sommes nés le même jour avec mon mari). 30 ans ça se fête ! Pour l’occasion, j’ai offert un saut en parachute à mon chéri (Je crois que j’étais plus stressée que lui ahaha). Nous avons effectué le saut avec Caraïbe Parachutisme. Il n’y a qu’eux qui dispense cette prestation sur l’île. Je ne peux pas donner mon ressenti sur le saut en lui-même (bien trop pétocharde pour le faire) mais l’accueil fut très agréable.

L’après-midi, pour se remettre de toutes ces émotions, nous sommes allés nous reposer à la plage de Bois Jolan.  Cette plage est un vrai coup de cœur ! Nous étions quasi seuls avec une eau chaude et translucide, que demander de plus pour fêter son changement de dizaine ? Le soir nous devions aller manger au restaurant… mais pour ceux qui connaissent bien les îles, les coupures de courant sont assez fréquentes. Et c’est arrivé durant notre séjour, la seule et unique fois du séjour : coupure générale dans toute la Guadeloupe. Donc restaurant annulé et reporté au lendemain.

Jour 4 : La randonnée de la porte d’Enfer jusqu’à la pointe du Souffleur, la plage de Port-Louis et la visite de la distillerie Damoiseau

De bon matin, nous sommes partis randonner au Nord de Grande Terre à Anse-Bertrand. Nous avons commencé par une balade tranquille pour nous dégourdir les jambes à la Pointe de la Grande Vigie. Ce sentier fait le tour de la Pointe, ce qui permet de voir la force de l’océan se briser sur les falaises. Au bout de la pointe, vous verrez sur la gauche le rocher de la tortue (il faut un peu d’imagination tout de même). Et si vous avez de la chance vous pourrez apercevoir des baleines.

Après cette halte, nous nous sommes rendus à la Porte d’Enfer. Depuis le parking, il est possible de faire une randonnée de 7km environ jusqu’à la Pointe du Souffleur. Tout au long du parcours, vous longez les falaises, apercevez quelques souffleurs (petits geysers créés par la houle) jusqu’à la Pointe du Souffleur. Arrivés à cette pointe, vous trouverez un chemin pour descendre et vous rendre au plus près du Trou du Souffleur. Le retour se fait par le même chemin.

Après cette balade, nous nous sommes rendus à Port-Louis pour nous reposer sur la plage du Souffleur : une vraie carte postale tellement l’eau était translucide et calme. Enfin, nous avons terminé notre journée par un arrêt à la Distillerie Damoiseau. Nous n’en attendions pas grand-chose donc nous avons trouvé la visite simple (celle-ci est gratuite donc un petit arrêt ne coûte rien). Cependant, je recommande plutôt d’effectuer une visite guidée des distilleries, c’est beaucoup plus intéressant. 

Jour 5 : Petite Terre

Voilà l’une des journées que j’attendais le plus de notre séjour : l’excursion à Petite Terre. Ce petit paradis est constitué de deux petits îlets, tous les deux inhabités par l’Homme (seuls les gardiens de la réserve sont autorisés à y demeurer). L’un des îlets est exclusivement consacré à la recherche (Terre-de-Haut) et l’autre îlet (Terre-de-bas) est celui que nous avons pu visiter. Cet ensemble a été classé réserve naturelle en 1998. Nous avons effectué l’excursion avec Reynald de Désir’Evasion et ce fut une très belle journée. Il faut compter 115€/adulte et 100€/enfant (Tarif 2022). C’est donc une excursion assez onéreuse mais nous n’avons pas regretté une seconde.

Le départ se fait depuis le port de Saint-François à 7h30 du matin. Après une traversée d’un peu moins d’une heure (il faut avoir le cœur bien accroché s’il y a de la houle), nous arrivons dans notre petit paradis pour la journée. Reynald nous raconte l’histoire du lieu et des îles aux alentours. En effet, on aperçoit très bien la Désirade depuis Petite-Terre. Nous débarquons sur l’île, Reynald nous propose un tour guidé. Il nous présente la faune et la flore de l’île avant de nous laisser quartier libre jusqu’au déjeuner. Petite-Terre, c’est l’île aux iguanes des petites Antilles. Il est différent de l’iguane commun qu’on retrouve sur l’île principale. C’est une espèce protégée car il n’en reste malheureusement plus beaucoup (hormis sur Petite-Terre et la Désirade) au profit de l’iguane commun qui est donc interdit à Petite-Terre.

A l’heure du déjeuner, Reynald nous propose un repas typique de la Guadeloupe et également planteur et Ti’Punch à gogo ! Le soleil tape un peu fort, il ne faut pas trop en abuser. Le repas est très convivial avec notre groupe d’excursionnistes (les Nordistes, les Alsaciens, les Sudistes et les Nantais). Nous passons un bon moment avant de retourner sur l’îlet pour un après-midi snorkeling. Nous avons pu observer des tortues, des raies, des bébés requins et de grands barracudas. Ces derniers étaient impressionnants et un peu flippants. Le moment était magique !

Vers 16h, il est temps de rentrer, nous reprenons le bateau direction Saint-François.

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Jour 6 : Randonnée sur le sentier du littoral et la plage de La Caravelle

Pour cette dernière journée sur Grande Terre, nous avons opté pour une petite balade à pied du côté du Gosier. Il s’agit du sentier littoral de Saint-Felix. Entre pâturages et plages, ce sentier côtier propose une balade sympathique, sans trop de difficultés. Ce ne fut pas spécialement un coup de cœur mais nous étions tranquilles.

Après cette balade, nous nous sommes rendus à la célèbre plage de la Caravelle, plage du Club Med très connue. En fin de journée, il n’y avait pas trop de monde. La plage est belle mais j’ai largement préféré Bois Jolan.

Jour 7 : le canyon de la rivière Moustique

Une semaine s’est déjà écoulée depuis notre arrivée sur les îles de Guadeloupe. En ce septième jour, nous avons quitté Grande Terre pour rejoindre Basse-Terre, la partie plus humide et plus sauvage. Arrivés à Petit-Bourg, nous avions prévu de faire une randonnée aquatique dans le canyon de la rivière moustique. Nous n’étions pas très sûrs du point de départ de cette randonnée car celui-ci nous fait traverser une exploitation agricole mais il semblerait que ce soit tout même plutôt officiel. Nous avons pris le départ depuis le chemin Duquerry mais il est aussi possible de démarrer au début de la route forestière de Desbordes selon les infos que vous retrouverez ICI. Bien qu’on ne sût pas vraiment si on avait le droit d’être là, la traversée de l’exploitation nous plongeait véritablement dans l’univers tropicale. Après environ 700m de marche, nous avons repéré un chemin qui descendait dans la forêt. Le sentier est très pentu (dénivelé de 90m sur 600 mètres) et glissant. Nous sommes toujours très doués pour ne pas partir dans le bon sens quand on fait des randonnées aquatiques (véridique en Corse également) et ça n’a pas loupé encore cette fois. Je vous confirme donc qu’il faut remonter le lit de la rivière.

Après avoir compris l’erreur, nous avons tranquillement remonté la rivière et nous avons profité de cette nature luxuriante, des murs végétaux qui s’offrait à nous. Après quelques temps de marche, nous avons enfin atteint le canyon. Là, le maillot de bain est indispensable puisque nous n’avons plus pied. La descente un peu difficile valait vraiment le coup, ce canyon est magnifique !

Après cette randonnée, direction notre logement. Nous avons emprunté la route de la Traversée qui permet, comme son nom l’indique, de traverser toute la Basse-Terre.

Jour 8 : Kayak et snorkeling dans la réserve Cousteau et plage de la Malendure

Après la randonnée, place au snorkeling. En cette journée, nous avons loué un Kayak chez Gwada Pagaie pour partir à la découverte de l’îlet Pigeon qui se trouve en face de la plage de Malendure et faisant partie de la réserve Cousteau. Il suffit de parcourir 1 km en Kayak pour rejoindre l’îlet. Malgré une distance courte, il faut avoir de bons bras si le vent n’est pas en votre faveur. Une fois sur place, vous avez accès à trois zones de snorkeling (il vaut mieux respecter les consignes pour éviter de se faire emmener au large) : le jardin de corail (où nous avons vu le plus de poissons), la piscine (un peu plus de fond et des bancs de poissons) et l’Aquarium (nous n’avons pas testé car la mer était trop agitée). Vous pouvez également vous rendre jusqu’en haut du point culminant de l’îlet pour observer une très belle vue sur la plage de Malendure.

Source : Snorkeling-report.com

Après cette belle session snorkeling, nous sommes rentrés et nous avons eu le plaisir de faire le chemin retour entouré de quelques tortues qui nageaient à côté de notre kayak. Une fois arrivés chez Gwada Pagaie, un planteur et quelques noix de coco nous ont été offerts. Nous avons terminé la journée sur la plage de Malendure à observer les tortues.

La plage de Malendure
L'ilet Pigeon

Jour 9 : La Soufrière

La Soufrière, le point culminant des Petites Antilles à 1467 m et un volcan assez capricieux ! Il faut dire que son sommet n’est pas toujours dégagé et que c’est un peu la loterie…
L’accès s’effectue à partir du lieu-dit des Bains Jaunes où un petit parking est aménagé. Vous trouverez la carte de la randonnée sur le site du Parc National. Nous avons rencontré des difficultés à nous garer et la route est très étroite alors pour opérer un demi-tour il faut s’armer de patience et savoir maitriser son véhicule. Je dirais qu’il faut y aller très tôt ou bien en fin de matinée quand les plus matinaux repartent. On commence donc la balade en empruntant le chemin du pas du Roy jusqu’à rejoindre la RD11 et l’ancien parking du volcan aujourd’hui inaccessible. Ensuite, vous pouvez effectuer l’ascension par le Chemin des Dames. Rapidement, les odeurs de souffre se font sentir. L’ascension ne présente pas grande difficulté hormis la fin où il faut un peu escalader et le chemin peut être glissant. Avec la fatigue, soyez vigilant. Lorsque nous y sommes allés, le sommet était complètement couvert et il faisait très froid en haut. N’oubliez également pas le coupe-vent. En redescendant, ne manquez pas la magnifique vue sur les Saintes.

Jour 10 : Les Saintes

L’île des Saintes fut notre coup de cœur du voyage ! Un voyage dans le voyage ! Ce fut une belle parenthèse de tranquillité. Les Saintes, c’est deux iles : Terre-de-Haut et Terre-de-Bas. La plus connue est Terre-de-Haut. Je ne pourrai pas donner un avis sur Terre-de-Bas car nous n’y avons pas séjourné. Pour ce qui est de Terre-de-Haut, je conseille vivement d’y passer au moins une nuit pour profiter pleinement de ce lieu merveilleux. Nous sommes arrivés en milieu de matinée sur l’île et nous avons été très bien reçus à la résidence « Sur l’Anse ». La première étape fut de se rendre au Fort Napoléon (nous l’avons fait à pied). Le point de vue est superbe mais les paysages que nous avons vu par la suite étaient encore plus beaux. 

Ensuite, nous avons effectué la randonnée du Morne Morel. Le point de départ est situé entre la plage de la baie du Marigot et le restaurant la Payott situé sur la droite. Il faut suivre le balisage jaune. Ça grimpe assez rapidement et le soleil tape fort. On improvise donc pas et on prend de l’eau ainsi qu’une casquette. Nous ne croisons quasiment personne. En effet, les personnes venant à la journée visent plutôt les plages. Nous avons pu profiter de magnifiques points de vue sur le Chameau (point culminant de l’île), la Basse-Terre au loin et enfin au bout du sentier la plage de Pompierre. Nous sommes ensuite redescendus vers le sentier menant à cette plage. Ce jour-là, il y avait beaucoup trop de vent pour se baigner. Le soir, une fois les excursionnistes de journée partis, nous avons pu profiter du calme du village et déguster un bon apéritif.

Jour 11 : Les Saintes

Deuxième jour sur l’île et on s’y sent tellement bien. En ce deuxième jour, nous décidons de faire la randonnée du Chameau et redescendre par la plage du Pain de Sucre. Nos hôtes toujours aussi charmants nous proposent de garder nos affaires le temps de la balade. Nous voilà partis à l’ascension du chameau. Le début de la randonnée n’est pas exceptionnel, nous longeons la route. Puis, nous arrivons au début de la route de la vigie. La route est barrée. Celle-ci est interdite à la circulation motorisée. La randonnée se fait donc sur une roue goudronnée et nous offre de magnifiques points de vue, notamment celui-ci-dessous : la baie des Saintes ! La vue la plus magnifique de ce séjour ! Ensuite, on emprunte un chemin très escarpé, à l’opposé de notre arrivée. La descente est assez rude et pas adaptée aux personnes non équipées et aux enfants. On descend pour atteindre la plage de Crawen. On rejoint ensuite la route pour arriver à la plage du Pain de Sucre. Tous les détails de cette randonnée ICI.

Après cette longue balade, nous avons profité de la plage du Pain de Sucre, magnifique mais minuscule ! Il faut donc arriver très tôt pour espérer poser sa serviette et on est vraiment les uns à côté des autres. Pourtant, c’est un très beau spot de snorkeling et la vue est superbe. Alors, ne passez pas à côté. Après cette belle journée riche en paysages fabuleux, nous avons pris le bateau retour pour Basse-Terre.

Jour 12 : Visite de la distillerie Bologne et randonnée aux chutes du Carbet

On ne vient pas en Guadeloupe sans s’arrêter dans une distillerie quand même. Nous avons fait le choix de visiter la distillerie Bologne. La visite est très intéressante, on peut voir les machines en fonctionnement et la guide nous explique très bien le process de fabrication. En fin de visite, une dégustation de rhum est proposée. A 11h du matin, ça pique un peu quand même !

L’après-midi était consacré à la randonnée aux chutes du Carbet. Il y a trois chutes : la première est accessible en 3h30 A/R, la deuxième en 45 minutes A/R et la troisième en moins de 2h A/R.  Nous avons fait la première et la deuxième. En effet, la deuxième se situe sur le chemin de la première, il serait donc dommage de ne pas s’arrêter. Elle est accessible à tous. Vous trouverez toutes les informations nécessaires sur le site du Parc National. La première chute Cabret vaut le coup pour ses 115 mètres de haut, sa couleur orangée de ses roches et le fait qu’elle soit sur deux étages. Le chemin pour y arriver est assez escarpé, il y a du dénivelé et les derniers mètres pour y descendre sont compliqués (ou était-ce le rhum qui me jouait des tours ?).

La première chute Carbet
La première chute du Carbet
La deuxième chute du Carbet

Jour 13 : La Mangrove et Grand Cul de sac de Marin

Nous arrivons déjà à l’avant-dernière journée de ce séjour en Guadeloupe. Ce matin-là, nous avions prévu une excursion avec Blue Lagoon à la découverte de la Mangrove de Grand Cul de Sac de Marin au départ du port de Sainte-Rose. Malheureusement, le temps n’était pas idéal et la sortie s’est faite sous la pluie en partie. Accompagnés de notre guide, nous avons parcouru la mangrove pour y observer sa faune et sa flore puis nous avons fait une escale snorkeling à deux endroits : à proximité d’un îlet et sur une épave d’un bateau. Enfin, nous avons terminé par un arrêt dégustation de planteur sur l’îlet Blanc. Enfin, nous avons passé l’après-midi sur la plage de Grande-Anse afin de profiter de notre dernière plage avant le retour en métropole.

Jour 14 : le jardin botanique de Deshaies, la cascade aux écrevisses et retour à Nantes

Dernier jour sur l’île, nous profitons de la matinée pour aller visiter le jardin botanique de Deshaies. La balade est sympathique mais son coût un peu élevé je trouve (16,70 €/adule – Tarif 2023). Puis, nous avons pris la route en direction de Pointe-à-Pitre avec un arrêt à la cascade aux Ecrevisses (10min de marche pour la rejoindre depuis le parking). Elle mérite qu’on s’y attarde uniquement si elle est sur votre route. Notre séjour a ainsi pris fin. Nous avons repris l’avion avec Air France direction Paris puis Nantes.

J’espère que ce résumé de notre séjour vous aura plu. Un aussi beau séjour méritait bien un long résumé 😊. Les îles de Guadeloupe offrent une richesse d’activités et de découvertes. Même en deux semaines, nous n’en avons pas fait le tour. L’occasion d’y retourner !

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